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miércoles, 1 de febrero de 2017

Carte abiert a Miterrand (1989)

Je suis trés content et brincant en une sole pate, mesié le President, pour votre arrivée a  mi terrand Venezuelá. Ojalá, oh la lá, que vous nos ayudons a sortir de esta horroreuse pobrece, s'il vous plâit, y mercí de anteman.
C'est un pays del Arauca vibratoire, plein de richesses et de problemes. Nous avons beaucoup du petrol (l'oro noir), mais pour otre part guberne l'Action Democratique, una (des)organization que ha poussé la grand comique dilapidant tout les churupes. Figourese vous que non hay ni moned sencille par se monté dans le Metró, et si uno comme un pendeux paga con billet le mentant la mère et la sagrade famille.
S'esfumé la belle epoque de las vaches grosses que dabant leche condensé‚ (como disse la chanson de Ives Montand).
Ahora, aujourd'hui, nous sommes en la carraplane, en le más complete deSartre, pasque le anterieur President, Jaime Lusinchi, tornóse loc de bole a causse de sa secretaire privée, la avocat Blanche Ibagnez Pigna, qui obtuvo su diplome en la Soborne de aquí. Elle, en societté anónime con un groupe de elegants malandres, se hurtaront, oh mon Dieu!, oh Diables!, toute la plate de la republique. La petite Blanche -un femme vraiment pajare brave- murmurabe sur la oreille a le premier mandataire: "J'aime Jaime"; et Lusinchi con sonrise a lo Maurice Chevalier reppondía: "D'accord, queride", et le echabe bolígraphe a tous les contrats y las cartes de credit. ¿Vous m'entendez, mesié Francois?
Le veintesept de fevrier, la enfrebrecide population que habite dans les cerres (hommes, dames, chames, viejecilles et allons enfants de la patrie) descendieront arrechement hacia la cité, et vociferabant: "Liberté, igualité, fraternite‚ bacié". Aquello fue comme une revolution francaise, pero con plus  Miserables que los del ecriteur Victor Hugo. Las mases furieux atacaront a les comerciants especulateurs et a las maisons de les riches, par obtenir infinité de choses: televisseurs, carne de cochon, chemises Lacoste, brassiers, cologne Jean Marie Farine, etceterá.  Depuis de deux jours, le gouvernement de CAP, en sacant a la force publique, affirmé: "C'est finí, non más robes-pierre", et hubo un salde de centenaires de victimes et des invalides. Les periodistes informaront sur la posibilité de un golpe de etat, de un cognac militaire, de une guerrilla de rouges camarades, pero no succedió nada de rien.
 En le presente, con les medides economiques et (in)politiques de Charlot Andrés Pérez, nous estamos confrontons una pelation incontroleé. Les salaires sont de mied, en la rue rasspant a cualquier christian (aunque no sea Dior) pour le quitté les zapattes, la justice n' existe pas, les corruptes se paseant pour places et boulevards morts de la rise (par exemple, Ouiliberto, Mogna, Albert Finole et la que le racconté‚ que se donne la grand vie entre  Miami et L'Ermita).
Nous neccesitons une transformation a fond y a fondue de notres estructures socialles, para sortir de este paté de fuá, de esta tragique comedie, de este theatre del absurd, donde los que menos y moins pujan seront alcaldes ou gouvernateurs.
Excuse muá, mesié le President de la France et de la Alliance Francaise, pour cette histoire de amour et dolor... de estomag, pour cette lacrimoise telenouvelle de tercer monde. Y con su permission, brindemos  a votre santé‚ avec un modeste cocktail de Alka Seltzer, agua mineralle y burda d'azúcar, q'est como si fuesse champagne la Viude Cliquot. Au revoir, ahí nos vemos.    
                   




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